30 septembre, 2008

Parfois nous sommes tellement pris dans notre tourbillon quotidien qu’il nous arrive de passer à côté de l’essentiel. On a beau s’en faire une priorité, le désirer ardemment, rien à faire, on y arrive juste pas.

Alors que j’étais partie pour le travail la semaine dernière, je pensais à tout cela. J’étais loin de chez moi, relevée de mes responsabilités de mère, de gentille voisine, de collègue de travail etc.

J’étais simplement une participante au congrès annuel des du Réseau canadien d’éducation et de communication relatives à l’environnement.

Et c’est là que j’ai réalisé que Compagnon et moi manquions de temps pour nous deux. Du temps juste pour nous deux et non pour nous cinq. Séparée et loin de lui pendant plusieurs jours, j’avais très hâte de le retrouver, de l’embrasser et de me retrouver au creux de ses gros bras musclés (!).

Toutefois, la réalité m’a vite rattrapée à mon arrivée. Les petits, ayant eux aussi manqués leur maman, la réclame sans cesse. Le tourbillon du quotidien n’a pas manqué lui non plus de me reprendre dans sa course folle.

Résultat : je suis revenue depuis trois jours et je rêve encore d’embrasser Compagnon et de me retrouver au creux de ses bras musclés.

2 commentaires:

La Mère Michèle a dit...

Ce soir: pas de télé!
Après le coucher des chérubins:
un bon bain chaud, une tite partie de carte, pis pour finir une partie de fesse :)

Oups! Scusez-là! :)

Mi-trentaine a dit...

J'en prends bonne note Mère Michèle!