30 septembre, 2008

Parfois nous sommes tellement pris dans notre tourbillon quotidien qu’il nous arrive de passer à côté de l’essentiel. On a beau s’en faire une priorité, le désirer ardemment, rien à faire, on y arrive juste pas.

Alors que j’étais partie pour le travail la semaine dernière, je pensais à tout cela. J’étais loin de chez moi, relevée de mes responsabilités de mère, de gentille voisine, de collègue de travail etc.

J’étais simplement une participante au congrès annuel des du Réseau canadien d’éducation et de communication relatives à l’environnement.

Et c’est là que j’ai réalisé que Compagnon et moi manquions de temps pour nous deux. Du temps juste pour nous deux et non pour nous cinq. Séparée et loin de lui pendant plusieurs jours, j’avais très hâte de le retrouver, de l’embrasser et de me retrouver au creux de ses gros bras musclés (!).

Toutefois, la réalité m’a vite rattrapée à mon arrivée. Les petits, ayant eux aussi manqués leur maman, la réclame sans cesse. Le tourbillon du quotidien n’a pas manqué lui non plus de me reprendre dans sa course folle.

Résultat : je suis revenue depuis trois jours et je rêve encore d’embrasser Compagnon et de me retrouver au creux de ses bras musclés.

29 septembre, 2008

Il y a quelqu’un chez nous qui songe déjà à Noël…

Grincheux : Maman, est-ce qu’on sait jusqu’à quel âge il va vivre le Père Noël ?C’est parce qu’il commence à être pas mal vieux et puis Noël s’en vient.

Serait-ce le temps de révéler à Grincheux, la vraie histoire du Père Noël?

Snif, snif, et moi qui comptais employer prochainement l’effet sagesse qu peut avoir le Père Noël sur les enfants!
Bon, je suis de retour!

Quand on part de la maison pour quelques jours, laissant derrière soi les enfants, le conjoint et la routine habituelle, notre retour nous inquiète un peu.

Vais-je être capable de reprendre le rythme du train train quotidien assez vite?

Serais-je encore capable de gérer trois enfants qui veulent tous soit te parler en même temps, soit te demander quelque chose en même temps ou soit faire des bêtises en même temps? … et même parfois, ces trois choses, tous en même temps!

Si cela m’inquiète c’est que je viens de passer quelques jours entourés d’adultes seulement. En plus, je n’avais à prendre soins que d’une seule personne et c’est moi!

Mais aussitôt sortie de l’avion, la réalité m’a rattrapée! Elle (la réalité, ma vraie réalité!) m’a mise à l’épreuve assez vite et cela faisait à peine deux minutes que j’avais retrouvé les petits et Compagnon à l’aéroport.

Joyeux, se tortillant : Maman, envi pipi. MAMMMMAN, envi PiPi.

Vous voyez où ça s’en va, n’est-ce pas?

Et oui, il avait envi de pipi le petit. Et non nous n’avons pas eu le temps de nous rendre à la salle de bain. Et oui le petit a fait pipi parterre…dans son pantalon…dans ses chaussures! Tout ça au beau milieu de l’aéroport!

Chassez le naturel et il reviendra au galop!!!

23 septembre, 2008

Un petit mot pour vous dire que je serai absente pour les prochains jours. J’ai la chance de travailler pour un organisme qui m’envoie parfois dans l’Ouest canadien, parfois dans l’Est!

J’en profite car au printemps, je retourne au musée, et les occasions de voyages y sont plus rares!

Autant je me sens choyée de pouvoir voir du pays ainsi, et qui plus est, ce sont souvent dans des milieux naturels d’une beauté incroyable, autant je serais prête à tout donner pour ne pas partir.

Je ne pense pas que le cordon qui me lie à chacun de mes enfants soit suffisamment long et élastique pour que l’on soit séparé par une telle distance! Ne pas avoir ce contact physique quotidien avec eux, c’est ce que je trouve difficile. J’ai besoin de prendre, toucher et sentir mes enfants. Passer un jour ou deux sans eux ça va, mais là, savoir que je serai plusieurs jours sans pouvoir leur caresser la joue ou leur voler un bisou… c’est plus difficile!

Note à Compagnon : Mais oui, mon chéri, pour toi aussi c’est pareil!!!! …le cordon en moins!

Allez, bonne semaine!

Expérience non concluante!

Attention Mesdames et messieurs, à vous qui vous vous lancerez dans l’aventure des tartes aux pommes, je vous dis : prenez garde à la recette que vous choisirez!

Je parle d’expérience! Cette tartre aux pommes étant ma toute première tarte aux pommes à vie (!), je suis donc parti à la recherche de zi recette!

Et je croyais l’avoir trouvé… mais ça, c’était avant de l’avoir essayée!
Ha je vous entends : mais comme c’était ta première tarte, comme sais-tu que c’est pas toi l’élément faible de cette recette?

Hé bien non! J’ai des témoins! Je les ai vus, eux aussi, sourciller à la lecture des ingrédients!

D’où venait cette recette? De La Presse du week-end précédent. On y demandait 5 pommes, coupées en dés, auxquelles on y ajoutait une demi tasse de sucre. Laisser cuire à feu doux le tout pendant une heure et voilà!, l’essentiel de votre tarte.

Hum…

Cinq pommes, ce n’est pas beaucoup! Jamais on ne pourra remplir un fond de tarte avec cela!
Mais ce fut délicieux sur de la crème glacée à la vanille!

Maintenant, je comprends pourquoi certaines revues inscrivent en gros sur leur page couverture Recettes testées.

Allez, on retourne aux chaudrons!
Récapitulons!

La Mère Michèle et moi avons pensé se fixer quelques objectifs, plaisants et rigolos, afin de profiter de l'automne qui commence. Question de ne pas arriver à Noël, quelques regrets sur la conscience!

Alors, si le cœur vous en dit, joignez-vous à nous et n'hésitez à partager avec nous vos résultats!

Premier objectif: faire une tarte aux pommes. Quoi de plus classique!

Deuxième objectif: une promenade en plein-air, photos à l'appui!

Que le plaisir commence!

22 septembre, 2008

Il y a des matins comme ça. Des matins où ton cerveau semble vouloir rester sur le neutre. Ou bien serait-ce les neurones qui sont très lentes à s’activer?

En fait, c’est comme s’il y avait un laps de temps, petit mais significatif!, entre le moment où ton corps reçoit un ordre en provenance de ton cerveau et le moment où il passe finalement à l’action.

On a alors de la difficulté à s’exprimer! On veut parler à un collègue, on oublie son nom! Ça fait chic!

On tape au clavier et subitement nous voilà un brin dyslexique!

Je pense qu’aujourd’hui, j’aurais bien fait le travail buissonnier!

J’en aurais profité pour faire des trates… heu des tartes (vous voyez, ce que je veux dire!). Avec la Mère Michèle, on a pensé se fixer quelques objectifs cette saison (et de saison) afin de profiter à fond de l’automne.

Premier objectif : faire une trarte , zut, une tarte, aux pommes. Cela va de soi!

Par la suite il y aura probablement une sortie aux pommes et autres activités de circonstances. Rien de compliqué. Simplement des trucs que l’on se promet de faire à l’arrivée d’une nouvelle saison, mais qu’en réalité on fait si peu!

Si le jeu vous tente, joignez-vous à nous!

Bon allez, c’est l’heure d’aller se chercher un bon café… question de dissiper tout ce brouillard qui m’enveloppe ce matin!

17 septembre, 2008

Quand un enfant débute la garderie, c’est souvent à sa troisième journée que les choses se compliquent. En effet, l’enfant commence à comprendre ce qui se passe. On le dépose le matin et il ne nous revoit pas avant la fin de la journée. Et c’est là que l’on doit user de stratégies afin de rassurer le petit… afin que tout se passe bien.

Et bien, révélation! Je dirais qu’il en est de même pour nous, parents, lors de la rentrée scolaire. Les premiers jours, voir les premières semaines, on ne semble pas comprendre ce qui se passe. On se sent encore un peu en vacances, avec suffisamment de temps en soirée pour faire un peu de tout avec les enfants.

Quoi, vous voulez aller au parc? Oui, allons-y, il n’est que 19h30!

Faire les lunchs pour demain? Mais oui, j’y viendrai. Pas besoin de se stresser, il n’est que 20hres!

Mais lorsque l’on est rendu à la troisième semaine d’école, la donne change!

Quoi, vous voulez aller au parc? Ben non, il est 19h30, c’est l’heure du bain.

Quoi, il est 20hres et je n’ai pas encore fais les lunchs?

Oui, tout comme les tout-petits qui, tout à coup, comprennent ce qui les attendent tous les jours, le parent réalise qu’il s’est transformé en gardien du temps. Exit la liberté de flâner dehors jusqu'à ce qu’il fasse noir le soir, exit la possibilité de ne pas organiser la journée suivante de tout le monde avant d’aller au dodo.

Et comme le petit à la garderie, on regarde par la fenêtre et on pleure un petit coup!

16 septembre, 2008

Que dit la petite soeur de 5 ans à son grand frère qui en a 8, lorsqu'elle réussi à pédaler sans petites roues avant lui?

Proffe, qui essaie tant bien que mal de remonter l'égo de son frère: C'est quand même toi le champion de la byciclette à petites roues croches (croches car seulement une touche parterre!)

... le verre est à moitié plein... le verre est à moitié vide....

Mots d'enfants

Proffe : Aujourd'hui maman, les pompiers sont venus à l'école et on a eu une pratique de larmes de feu.

11 septembre, 2008

Vive John the Wolf

Certains le trouvent éparpillé et borderline, moi je le trouve rafraîchissant et authentique.

Pour du Leloup à son meilleur, écoutez l’entrevue (quoique c’était plutôt un quasi monolgue!) qu’il a donné à Christiane Charrette ce matin.

Et pour vous donner une idée de la controverse qu’a suscité son passage à l’émission, jetez un coup d’œil aux messages laissés par les internautes.

10 septembre, 2008

Faut pas avoir peur du ridicule!

Elle a l’air smart la fille, assise dans son cubicule, de chaudes larmes coulant sur ses joues.

Attention les filles : ne pas écouter la chanson Berce-moi encore de Daniel Lavoie lorsqu’on est en public!

Je dois être en pleine ovulation moi-là!!!
Il est toujours bon de mettre les choses en perspectives!

À la sortie de l’école :

Maman, impatiente : OK, Proffe, laisse moi t’attacher. Tu essayeras une autre fois. Je ne peux pas rester à coté de l’auto jusqu’à ce que tu réussisses. Il y a des autos qui passent et je ne veux pas me faire frapper.

Proffe, déçue : Ok, vas-y.

Une fois tout ce beau monde assis et attaché, je m’assoie à mon tour, je ferme la porte de l’auto.

Maman : Écoute ma puce, je sais que tu es capable de t’attacher tout seule. Sauf que là, ce n’est pas le temps. Si je reste trop longtemps dans la rue à attendre que tu t’attaches, je pourrais me faire frapper.

Grincheux, le rationnel : Oui Proffe, si maman se fais frapper, va falloir que l’on marche jusqu’à la maison.

Maman, qui s’attendait à un peu plus de sympathie: Ben voyons, je pourrais être morte aussi. Et d’en rajouter (pourquoi pas) Et si je meurs, vous n’aurez plus de maman.

Grincheux, toujours aussi rationnel : Ouais, pis là, papa va toujours être en retard au travail le matin.
???

08 septembre, 2008

On nous a jetté un sort!

Grincheux a décidé cette année, qu’au lieu de continuer le piano, qu’il irait plutôt en chant.

Et devinez qu’elle est la chanson que l’on aura le plaisir d’entendre, entendre encore et de réentendre jusqu’à dieu sait quand?

Chante-la ta chanson. Oui oui. Chante- la ta chanson. Et pas n’importe quelle version. Mais non! Celle chanté par Jean Lapointe!

Mais diantre! Comment s’est-on retrouvé avec cette chanson me demandez-vous?

C’est que le petit Grincheux a simplement confondu Jean Lapointe et Pierre Lapointe!!!

C’est le sénateur qui a de quoi être fier!

05 septembre, 2008

Quand ton boss passe par ton cubicule un matin et qu'elle te dit:

Ouais, c'est tranquille ici

et que tu lui réponds:

Ouais, c'est toujours comme ça

et que là, elle re réponds:

Et bien, on travaille là-dessus, à mettre plus de vie, à remplir ça ces cubiles-là...

Est-ce une façon indirecte, tout en douceur de te dire: c'est pas toi qui a eu la job?!!

04 septembre, 2008

Chez vous, qui fait la lessive?

Chez nous, c’est moi. Pas parce que Compagnon n’aime pas ça. Non c’est comme ça, résultat de la séparation naturelle des tâches domestiques!

Ce que j’aime de faire la lessive, ce sont tous les petits trésors que je trouve au fond de la cuvette une fois le linge lavé.

Grincheux à cette habitude de cacher au fond de ses poches une multitude d’objets, ou bouts d’objets je devrais dire, qui l’ont fait voyager pendant ses récréations. On y trouve donc des bouts de bois, de plastiques, des roches…. Vous voyez le genre.

Il n’est donc pas rare que ces objets orphelins se retrouvent à un moment ou l’autre dans la laveuse.

Quand je suis chanceuse, j’y trouve aussi des pièces de un dollar et parfois même des pièces de deux dollars!

Je croyais avoir tout vu, tout trouver ce qui pouvait être trouver au fond de la machine à laver jusqu’à la fin de semaine dernière.

Et non! Ce n’est pas une, pas deux mais trois surprises que j’aie eues! Et pas des surprises agréables!

Après une première brassée, alors que j’étais sur le point de sortir les derniers vêtements de la machine, j’aperçois une bibitte, une grosse bibitte dis-je, noire, avec de longues antennes au fond de la cuve. Et elle bougeait encore.

COMPAGNONNNNNN au secours!!!!!

Après une seconde brassée, alors que j’essayais, à deux mains, de sortir le chandail kangourou de Grincheux de la laveuse, quelque chose me disait que j’étais sur le point de faire, à nouveau une surprenante découverte. Et quelle découverte ce fut! Deux poches remplies de cocottes (oui, oui, des cônes de conifères) ainsi que deux bonnes pelletées de sable!

GRINCHEUX, viens ici!!!!!

Rendue à la quatrième brassée (puisqu’il fallu tout relaver la deuxième brassée tant il y avait du sable!), je commençais à en avoir aura le ponpon et considérait même être celle dans le couple responsable des poubelles au lieu.

Mais je n’avais rien vu encore…ou plutôt encore rien senti! O que yes!

Et quel fut l’intrus de cette brassée ? Je resterai vague mais vous comprendrez. Joyeux ne maîtrise pas tout à fait l’art de la propreté encore…. Disons qu’il y travaille fort mais qu’il y a encore place à l’amélioration… surtout en ce qui concerne les numéros deux!

03 septembre, 2008

Félicitations et bon courage à tous les papas et mamans qui vivent en ce moment leur rentrée scolaire!

Oui l’école a bien recommencé! La preuve?

Ha… nous pourrions dire les autobus scolaires qui circulent le matin et l’après-midi, les papas et les mamans, café à la main, tôt le matin, qui accompagnent leurs petits à l’arrêt d’autobus, les cours d’écoles qui bourdonnent quelques secondes après que la cloche ai sonné, les enfants, alourdis par leur sac d’école qui marchent parfois d’un pas certain, parfois d’un air nonchalant vers l’école, les brigadiers décorés de leur dossards oranges, panneau à la main, qui les attendent. Et j’en passe!

Mais pour moi, ce qui me convainc, me prouve que l’école est belle et bien commencée, c’est tout le trajet et toutes les choses que j’ai effectuées entre le moment où je suis sortie du lit ce matin et celui où j’ai posé mes choses dans mon cubicule (ouach!) au travail!

Voilà, c’est cette course très intense que je vis, et que vous vivez sûrement vous aussi, chaque matin qui me dit que oui, l’été est terminé et que les vacances, celles qui sont à venir, sont si loin, qu’elles ne sont même pas inscrites au calendrier!



Une grande inspiration et c’est parti!

Caresser les 3 petits afin de les réveiller en douceur et dans la bonne humeur car un enfant qui se réveille de bonne humeur, c’est un enfant qui coopèrera!

Sortir les vêtements pour chacun. Se souvenir des préférences de chacun. Ne jamais sous-estimer le pouvoir que peux avoir un chandail préféré. Il peut devenir un incitatif très efficace qui vous permettra de sortir du lit n’importe quel petit endormi! Une fois debout, il ne reste plus qu’à l’habiller!

Féliciter celui qui a au moins un œil d’ouvert! Menacer les 2 autres qu’il serait bien possible qu’ils n’aient pas suffisamment de temps pour déjeuner s’ils ne se lèvent pas (quoique que leur dire qu’ils n’auront conséquemment pas le temps d’écouter 5 minutes de la reprise des karmadors soit beaucoup plus efficace!).

Transférer (!) ces 3 petits à Compagnon qui s’occupe des déjeuners.

Embarquer dans la voiture et attacher les 3 petits…. ces trois petits qui, sous l’emprise d’une force surnaturelle, sont attirés vers leur bicyclette et leur rouli-roulant plutôt que vers la voiture.

Grincheux, ce n’est pas le temps de faire de la bicyclette. Viens t’asseoir dans la voiture.

Maman, je ne fais pas de la bicyclette, c’est juste en attendant que tu attaches les autres.

???

Déposer Joyeux chez Grand-papa. Tout l’été nous avons parlé à Joyeux de la nouvelle garderie qui l’attendait à la fin de l’été. Malheureusement, notre garderie n’a pas été choisie par la ministre lors de la distribution récente au Québec des places subventionnées. Merci Grand-papa!

S’arrêter au dépanneur afin de recharger ma passe mensuelle pour prendre le bus. (Merci Compagnon de m’avoir rappelé que le premier du mois était déjà passé!) Ceci implique entrer dans un dépanneur avec Grincheux (8ans) et Proffe (5ans) dans ce qui est pour eux une vraie caverne d’Ali baba!

Déposer Grincheux à son école. Dis donc, où est la seule porte débarrée de l’école à 7h30 de matin? C’est vraiment le début de l’année!

Déposer Proffe à son école. Première journée d’école pour Proffe. Rassurer la petite, chercher son éducatrice du service de garde, lui expliquer ce qui se passera dans les prochaines minutes.

Proffe, Mélanie est ton éducatrice du service de garde. Tu es dans le groupe des écureuils.

Non maman, mon professeur c’est Sophie, je suis dans le groupe des poissons.

Oui ma chouette, ça, c’est quand tu es en classe! Ton professeur s’appelle Sophie, mais quand tu es au service de garde, c’est Mélanie qui s’occupe de toi.

Sophie ou Mélanie? Tu m’avais dit que je commençais l’école... pourquoi j’ai encore une éducatrice…

???

Me rendre au stationnement incitatif. Y laisser la voiture. Attraper le prochain bus où il semble y avoir encore quelques centimètres carrés de libres.

Arriver enfin au travail. Expirer un bon coup puis… inspirer un bon coup à nouveau et continuer!

Mais il ne faut pas se décourager! Comme toute période de transition, il faut se donner la chance de devenir efficace dans cette nouvelle routine.

D’ici octobre, je devrais être en mesure d’arriver au boulot, le ventre plein et les dents déjà brossées!